How can one be so sweet, yet so brutal? Le 14 février est la journée qu’on use pour célébrer l’amour. Or, lorsqu’on est célibataire, c’est facile de se sentir seule, alors, j’ai donc invité mes amis et leurs amis, afin d’éviter se sentiment. On a ri, bu, partagé un bon moment.

Minuit, se fessant tard, certain sont parti alors que d’autres, sont resté. Deux heures du matin, après avoir dansé et parlé de tous et de rien, nous étions prêts à dormir. Toutefois, nous étions trois, donc il n’y avait pas assez de place dans mon lit double pour tout ces corps. Donc, nous avons fait gonfler un matelas. Alors que nous attendions que se lit se gonfle, cet homme, étendu sur le long de son flan, m’a observé comme jamais aucun autre hommes m’avaient observé auparavant. Son regard rempli de désir et de malice, m’a marqué à jamais. À cette instant, j’ai comprise que je fonçais vers un gouffre. J’ai dissocié, puis quand j’ai reprise conscience de mon corps, je me suis débattu de l’emprise des mains de cet homme sur mon corps. Pendant la nuit, alors qu’il dormait paisiblement au pied de mon lit, j’ai pleuré en silence.

Brutal. Mon corps, face à tant de brutalité brulait sous le poids de cette cruauté. Brutal. Deux jours dans un silence total à être incapable de quitter mon lit. Brutal. Trois mois à me sentir coupable d’avoir laissé entré cet homme chez moi et après tout, le monde passe son temps à blâmer les femmes pour tous les maux. Brutal. Après quatre mois, j’ai eu cette pulsion qui m’a habité, cette envie inexplicable d’exprimer cette honte, cette peine, cette douleur brutal.